L'Institut supérieur de transport et de la logistique s’ouvre à l’international
L'Institut supérieur de transport et de la logistique (ISTL) a signé, mercredi à Casablanca, deux conventions de partenariat avec des professionnels internationaux du secteur.
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Le 26 septembre 2013 à 16h21
Modifié 26 septembre 2013 à 16h21L'Institut supérieur de transport et de la logistique (ISTL) a signé, mercredi à Casablanca, deux conventions de partenariat avec des professionnels internationaux du secteur.
La première conclue avec l'Union internationale des transports routiers (IRU), a été signée par le président de l'ISTL, Abdelilah Hifdi, et le responsable IRU Academy, Patrick Philippe et porte sur l'accréditation exclusive de l'ISTL pour la formation des managers certifiés IRU.
Cette convention revêt une importance majeure pour la filière de la logistique au Maroc dans la mesure où l'IRU ne conventionne qu'un seul établissement par pays, a souligné M. Hifdi à l'occasion, ce qui témoigne du rôle important joué par l'ISTL dans la formation des futurs gestionnaires de la filière.
Fondée en 1948 à Genève, l'IRU se présente comme le porte-parole mondial de l'industrie des transports routiers. Elle accorde son accréditation à un seul établissement par pays pour les formations Manager et un seul autre établissement pour les formations Opérateurs. Au Maroc, l'ISTL est aujourd'hui accrédité pour les programmes de formation des managers, une forme de reconnaissance universelle des formations de cet établissement.
La deuxième convention conclue avec le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), a été paraphée d'une part par M. Hifdi, également président de la Fédération nationale du transport routier (FNTR), et d'autre part par le représentant délégué du CNAM, Alain André, et s'articule autour de trois axes stratégiques.
Le premier concerne le développement des formations, du Bac au Bac+5, le deuxième axe concerne la mise en place d'équipes de recherche en partenariat, l'échange d'enseignants chercheurs, le soutien à la recherche doctorale et le développement de brevets communs ainsi que la publication de communications communes, tandis que le troisième porte sur la diffusion de la culture scientifique et technique à travers l'organisation de conférences thématiques.
(Avec MAP)