Le juge espagnol rejette la plainte pour génocide contre Brahim Gali
Le chef du Tribunal central d'instruction numéro 5 de l'Audiencia Nacional, Santiago Pedraz, considère que l'existence d'indices d'un crime de génocide n'a pas été prouvée et que les témoins qui ont comparu dans l'affaire contredisent les affirmations qui sont soutenues dans la plainte, rapporte La Razon.
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Le 31 juillet 2021 à 14h35
Modifié 1 août 2021 à 22h26Le chef du Tribunal central d'instruction numéro 5 de l'Audiencia Nacional, Santiago Pedraz, considère que l'existence d'indices d'un crime de génocide n'a pas été prouvée et que les témoins qui ont comparu dans l'affaire contredisent les affirmations qui sont soutenues dans la plainte, rapporte La Razon.
Pour le magistrat, les comportements exposés dans la plainte ne comportent pas tous les éléments requis par ce type de crime, c'est-à-dire "l'intention commune qui guide les criminels, meurtres et tortures de dissidents pour détruire totalement ou partiellement leur propre groupe national auquel ils appartiennent", rapporte La Razon.
"Il n'y a aucune trace de ces sous-groupes dans lesquels ils divisent les sahraouis selon leur situation géographique", explique Pedraz. Pour le juge, le contraire serait « de forcer la norme pénale » pour pouvoir faire rentrer les faits dans le crime de génocide et ainsi éviter leur prescription, poursuit le journal.
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